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Publié le 4 mars 2022 - Mis à jour 5 mars 2022

STOCKMAN vous accompagne dans vos choix d’investissements contre les TMS.

87 % de maladies professionnelles sont causées par les troubles musculo-squelettiques (TMS). Elles représentent un coût de 2 milliards d’euros* pour les entreprises. Afin de limiter leur impact sur la santé des salariés comme des entreprises, l’Assurance Maladie a mis en place des mesures d’accompagnement avec notamment le plan TMS Pros Action**.

Ce plan s’adresse aux entreprises de moins de 50 salariés. Suite à un diagnostic ergonomique, les TPE et PME peuvent bénéficier de la subvention TMS Pros Action. Les montants des aides et conditions d’attribution sont à consulter auprès des organismes spécialisés (CARSAT, CRAMIF ou CGSS).

Un plan de formation TMS Pros Diagnostic est également proposé aux entreprises avec la désignation en interne d’une personne chargée d’évaluer et prévenir ces questions liées aux TMS.

Pour les entreprises de moins de 200 salariés, l’Assurance Maladie propose des contrats de prévention avec des aides de financement étudiées au cas par cas, selon les programmes et projets soumis.

TMS : Contactez les équipes commerciales de STOCKMAN pour vos choix d’équipements

Soucieux de ces enjeux, Stockman a fait de la lutte contre les troubles musculo-squelettiques un critère essentiel dans la sélection de ses produits de manutention, levage, magasinage et emballage. Un de vos clients vous sollicite pour une problématique TMS ? Nos équipes commerciales sont à votre écoute pour vous conseiller dans le choix de matériel adéquates.

Pour bénéficier du plan TMS Pros Action ou du Contrat de prévention TMS, rapprochez-vous de votre caisse régionale (CARSAT, CRAMIF ou CGSS). Retrouvez l’ensemble des conditions sur le site de l’assurance maladie dédié aux troubles musculo-squelettiques.

Quels investissements pour lutter contre les TMS ?

Tout matériel ou équipement permettant de freiner les problématiques de déplacement de charge, de gestes intenses et répétitifs ou de postures contraignantes est considéré comme un investissement de lutte contre les troubles musculo-squelettiques.

L’électrification des entrepôts entre clairement dans cet objectif avec l’utilisation de transpalettes ou de gerbeurs électriques performants pour soulever et déplacer des charges sans effort. Les tables élévatrices qu’elles soient manuelles ou électriques, avec des options de mise à niveau constant, préservent les salariés des mauvaises postures.

C’est également le cas dans l’univers de l’emballage avec des banderoleuses, filmeuses et scotcheuses (machines à poser l'adhésif) dont l’utilisation ne pèse plus sur les organismes. Les grues porte-à-faux motorisées dans les ateliers de mécanique ou les diables ergonomiques et motorisés (comme les diables monte-escaliers électriques) dans le secteur de la livraison sont d’autres exemples concrets d’investissements contre les TMS.

Pourquoi investir contre les TMS ?

Aujourd’hui en France, les troubles musculo-squelettiques (TMS) sont à l’origine de 87% des maladies professionnelles, tandis que le mal de dos représente 20 % des accidents du travail. Les TMS touchent l’ensemble des secteurs d’activités et leurs conséquences sont lourdes humainement, socialement et économiquement.

Côté salariés, les séquelles sur les corps affectent à long terme la qualité de vie et sont parfois irréversibles : douleurs permanentes, situations de handicap voire désinsertion professionnelle.

Tandis que pour les entreprises, la facture s’élève à environ 2 milliards d’euros avec une hausse des cotisations sociales, des dépenses de remplacement des salariés affectés et une baisse de productivité.

Sans compter que l’absentéisme forcé des salariés mène à des désorganisations et dégradations du climat social au sein des sociétés. Un tiers des arrêts de travail en France sont en effet dus aux TMS, avec en moyenne 2 mois d’absence pour les salariés touchés.

LES TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES EN CHIFFRES*

Les TMS sont des maladies professionnelles qui affectent les muscles, les tendons et les articulations. Ces troubles sont liés à des facteurs physiques comme des efforts intenses et répétitifs, des postures excessives pour les articulations, des charges lourdes portées sans équipement adéquates, etc.

L’environnement social du travail peut également avoir un rôle dans le développement des TMS : les cadences imposées, l’absence d’autonomie pour réaliser des tâches lourdes ou encore la monotonie du travail.
  • 30% : la part des arrêts de travail causés par les TMS
  • 2 mois : la période moyenne d’arrêt pour un accident de travail lié au mal de dos
  • 2 Milliards d’euros : le coût pour les entreprises avec la hausse des cotisations sociales
  • 87% : la part des maladies professionnelles reconnues comme des TMS
  • 20 % : la part des accidents de travail liés au mal de dos
  • 1ère : la place occupée par la lombalgie comme cause d’inaptitude avant 45 ans
  • 45 % : la part des TMS qui entraînent des séquelles lourdes (incapacités permanentes)

* chiffres de 2017 selon l’Assurance Maladie
** Les informations contenues dans cette actualité sont basées sur des données recueillies au 31 décembre 2020. Le Plan TMS Pros Action étant régulièrement actualisé, renseignez-vous auprès des organismes spécialisés pour toute simulation d’aides et type de matériels subventionnés.
L'équipe Stockman